Toutce qu’il vous demandera sera conforme Ă  sa Parole. 2. Il parle au travers des circonstances. Dieu fait concourir toutes choses pour le bien de ceux qui l’aiment. Soyez attentif aux situations que vous vivez. Dieu veut peut Psaume 50 TOB et Bible de JĂ©rusalem Il est numĂ©rotĂ© 49 dans le BrĂ©viaire pour la Liturgie des Heures. 01 Le Dieu des dieux, le Seigneur, parle et convoque la terre du soleil levant jusqu’au soleil couchant. 02 De Sion, belle entre toutes, Dieu resplendit. 03 Qu’il vienne, notre Dieu, qu’il rompe son silence! Devant lui, un feu qui dĂ©vore; autour de lui, Ă©clate un ouragan. 04 Il convoque les hauteurs des cieux et la terre au jugement de son peuple 05 Assemblez, devant moi, mes fidĂšles, eux qui scellent d’un sacrifice mon alliance. » 06 Et les cieux proclament sa justice oui, le juge c’est Dieu ! 07 Écoute, mon peuple, je parle; IsraĂ«l, je te prends Ă  tĂ©moin. Moi, Dieu, je suis ton Dieu! 08 Je ne t’accuse pas pour tes sacrifices; tes holocaustes sont toujours devant moi. 09 Je ne prendrai pas un seul taureau de ton domaine, pas un bĂ©lier de tes enclos. 10 Tout le gibier des forĂȘts m’appartient et le bĂ©tail des hauts pĂąturages. 11 Je connais tous les oiseaux des montagnes; les bĂȘtes des champs sont Ă  moi. 12 Si j’ai faim, irai-je te le dire? Le monde et sa richesse m’appartiennent. 13 Vais-je manger la chair des taureaux et boire le sang des bĂ©liers? 14 Offre Ă  Dieu le sacrifice d’action de grĂące, accomplis tes vƓux envers le TrĂšs-Haut. 15 Invoque-moi au jour de dĂ©tresse je te dĂ©livrerai, et tu me rendras gloire. » 16 Mais Ă  l’impie, Dieu dĂ©clare Qu’as-tu Ă  rĂ©citer mes lois, Ă  garder mon alliance Ă  la bouche, 17 toi qui n’aimes pas les reproches et rejettes loin de toi mes paroles? 18 Si tu vois un voleur, tu fraternises, tu es chez toi parmi les adultĂšres; 19 tu livres ta bouche au mal, ta langue trame des mensonges. 20 Tu t’assieds, tu diffames ton frĂšre, tu flĂ©tris le fils de ta mĂšre. 21 VoilĂ  ce que tu fais; garderai-je le silence? Penses-tu que je suis comme toi? Je mets cela sous tes yeux, et je t’accuse. 22 Comprenez donc, vous qui oubliez Dieu sinon je frappe, et pas de recours! 23 Qui offre le sacrifice d’action de grĂące, celui-lĂ  me rend gloire sur le chemin qu’il aura pris, je lui ferai voir le salut de Dieu. » Dieu s’adresse Ă  deux groupes et les appelle tous les deux Ă  lui offrir un sacrifice d’action de grĂące » versets 14 et 23. Ce refrain revient Ă  la fin de chaque interpellation destinĂ©e d’abord Ă  son peuple v. 7 et ensuite Ă  l’impie Écoute, mon peuple, je parle » Pourquoi le Seigneur convoque-t-il son peuple, ses fidĂšles, eux qui scellent d’un sacrifice son alliance v. 5? Il dĂ©sire recevoir d’eux plus qu’un sacrifice animal versets 9 Ă  13, donc matĂ©riel, en leur rappelant de ne pas oublier le sens profond du sacrifice fondĂ© sur la relation personnelle et intime avec Lui et non sur un simple rituel. Le danger dĂ©noncĂ© est celui de s’attacher au rite en nĂ©gligeant le signe spirituel. Dieu appelle donc son peuple Ă  renouveler son alliance avec Lui Ă  partir du cƓur, sans toutefois nĂ©gliger les expressions extĂ©rieures! Comment vivre l’alliance Ă  partir du cƓur ? En offrant un sacrifice d’action de grĂące v. 14. Le sens spirituel du sacrifice est de reconnaĂźtre que tout nous est donnĂ© gratuitement par Dieu. Cela nous demande de l’humilitĂ© et d’ĂȘtre conscients / conscientes de tout recevoir de Lui. Cette reconnaissance envers le Seigneur, de qui tout provient, et cette offrande de soi Ă  Lui, expriment la vraie adoration.

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] afin qu’ils aient la vie. » Actes 1118 De toute Ă©vidence, le processus miraculeux de l’appel chrĂ©tien comporte Ă©normĂ©ment de choses que nous ne pouvons pas dĂ©velopper ici. Pour en savoir davantage, demandez notre brochure qui explique de façon plus dĂ©taillĂ©e comment l’acceptation de cet appel conduit finalement au salut et Ă  la vie Ă©ternelle dans le Royaume de Dieu. Cette brochure gratuite, Qu’est-ce que la conversion ? » expose ces concepts de façon beaucoup plus dĂ©taillĂ©e. Le titre du premier chapitre est Qui sont les appelĂ©s, les Ă©lus et les fidĂšles ? » Nous encourageons tous nos lecteurs Ă  demander ou Ă  tĂ©lĂ©charger cette brochure importante.

2. La différence de ton est perceptible entre cet appel et l'appel de Moise et des prophÚtes. A noter le possessif : "mon serviteur, mon élu" "élu" n'est jamais dit d'un autre prophÚte. Ce serviteur n'est nullement un anonyme pour Dieu :"DÚs les entrailles de ma mÚre, Dieu a prononcé mon nom".(Isaïe 49,1).

Combien de fois n’a t-on pas entendu cette discussion de cafĂ© de comptoir » sur Jonas entre autres miracles ? Etait-ce un poisson ? un cachalot ? une baleine ? Comme si cela avait une importance suprĂȘme et que l’avenir du monde dĂ©pendait d’un poisson. CĂ©tacĂ© ! aurait pu dire JĂ©sus ! A trop se focaliser sur le miracle en lui-mĂȘme, Ă  se crisper sur la crĂ©dibilitĂ© de ceux-ci, on se dĂ©tourne du message de la Bible. Prenons ensemble le texte de Luc D’autres veulent tendre un piĂšge Ă  JĂ©sus. Ils lui disent Fais un miracle devant nous, ainsi tu prouveras que c’est Dieu qui t’envoie. » Que rĂ©pond JĂ©sus Ă  la foule? le savez vous ? la rĂ©ponse se trouve un peu plus loin 29Des foules trĂšs nombreuses viennent autour de JĂ©sus, alors il se met Ă  leur dire Les gens d’aujourd’hui sont mauvais. Ils demandent un miracle, mais les gens verront un seul miracle ce qui est arrivĂ© au prophĂšte Jonas. 30En effet, Jonas a Ă©tĂ© un signe pour les habitants de Ninive. De la mĂȘme façon, le Fils de l’homme sera un signe pour les gens d’aujourd’hui. Dans le rĂ©cit de Luc, comme Ă  plusieurs reprises il refuse d’en faire un. Pourquoi ? car il ne veut pas ĂȘtre rĂ©duit Ă  un faiseur de miracles, il connaĂźt le cƓur des gens qui sont avides de surnaturel Comparez Jean Une grande foule le suit. En effet, les gens ont vu les signes Ă©tonnants qu’il a faits en guĂ©rissant les malades. Cette mĂȘme foule se dĂ©tournera de lui quelques temps plus tard Jn A partir de ce moment-lĂ , beaucoup de ses disciples l’abandonnĂšrent et cessĂšrent de l’accompagner. Qu’y a t il entre Jean et Jean ? Pas moins de deux miracles, la mult. des pains et la marche sur l’eau. La foule est versatile ! C’est qu’en se focalisant sur le miracle on en vient a oublier le message qui vient avec et qui est le plus important. En fait le miracle peut devenir pierre d’achoppement, pour les croyants comme pour les incroyants, si on s’y accroche trop. Vous recherchez le surnaturel mais vous ne changez pas votre cƓur ! C’est un message que JĂ©sus pourrait donner Ă  tous ceux qui recherchent le spectaculaire Un bon miracle de guĂ©rison rien de tel pour dynamiser une foule. Et si le miracle n’a pas lieu ? Encore une fois je crois Ă  la guĂ©rison miraculeuse mais je n’en fais pas un article de foi. 29Comme la foule s'amassait, il se mit Ă  dire Cette gĂ©nĂ©ration est une gĂ©nĂ©ration mauvaise ; elle rĂ©clame un signe miraculeux, il ne lui sera pas donnĂ© d'autre signe que celui de Jonas [le prophĂšte]. 30En effet, de mĂȘme que Jonas a Ă©tĂ© un signe pour les Ninivites, de mĂȘme le Fils de l'homme en sera un pour cette gĂ©nĂ©ration. JĂ©sus ne nie pas le miracle de Jonas il en dĂ©place le sens. Le miracle de Jonas n’est pas d’ĂȘtre sorti du ventre du poisson, mais dans ce qui suit la repentance des ninivites. Luc Au jour du jugement, les habitants de Ninive se lĂšveront pour tĂ©moigner contre les hommes de notre temps, ils les feront condamner, car lorsque Jonas a proclamĂ© son message parmi eux, ils ont changĂ© de vie. Or, il y a ici, sous vos yeux, quelqu’un de plus grand que Jonas. Les ninivites n’ont pas Ă©tĂ© touchĂ©s par le miracle mais par le message, l’annonce du jugement ! et ils se sont repentis ! voilĂ  le miracle ! Le miracle est un trompe l’Ɠil ! Le message principal Les ninivites et la syro-phĂ©nicienne ont cru et se sont repentis! Des Ă©tranges, des parias, ...De la mĂȘme façon, dans les miracles rapportĂ©s par Jean la plupart des personnages sont des laissĂ©s pour compte » le paralytique est laissĂ© sur son gravat, l’aveugle fait la manche, la foule n’a mĂȘme pas de quoi manger, les disciples sont de simples pĂ©cheurs, Lazare fait partie du peuple et l’officier est un romain. Si l’on rajoute la femme samaritaine on a la cour des miracles » si vous me permettez l’expression. Que peut en dĂ©duire ? Ce n’est pas anodin, comme si Jean et JĂ©sus ne voulait pas accentuer sur le miracle lui -mĂȘme mais sur ce qu’il y a autour. JĂ©sus interroge, nous interroge sur leur notre motivation a le rencontrer. Est ce pour voir du surnaturel que vous ĂȘtes venus ? avez vous besoin de voir pour croire ? JĂ©sus donc utilise essentiellement les miracles pour faire passer son message. Le vĂ©ritable miracle est que l’Évangile voir Luc 4 est maintenant offert aux pauvres, aux femmes, aux aveugles, aux opprimĂ©s, a ceux qui ont besoin d’ĂȘtre consolĂ©s, aux paĂŻens, etc
 le reste n’est que poudre aux yeux » En rĂ©sumĂ©, la foi ne vient pas du miracle en lui-mĂȘme. Les miracles de JĂ©sus avaient comme signification Faire un premier tri » entre les crĂ©dules et les incrĂ©dules. Ceux qui n’ont pas cru aux miracles qu’ils ont vu pouvaient-ils croire dans le messager qui l’apportait ? Heureux ceux qui croient sans avoir vu a dit JĂ©sus, mais qu’en est il de ceux qui ne croient pas alors qu’ils ont vu ? Voir Jean JĂ©sus fait office de pierre d’achoppement entre les voyants et les non-voyants. Les miracles servent de support Ă  un message, une leçon que JĂ©sus a voulu donner. Une sorte de parabole si vous voulez car on sait que l’on retient plus facilement les images que les paroles. Par ses miracles il attire la foule pour mieux les enseigner sur Sa personne. Il y a une 3Ăšme signification. Il n’est pas anodin que Jean ne parle pas de miracles mais de signes. Qu’est ce qu’un signe ? Un signe est un geste qui signifie quelque chose en lui-mĂȘme, sans qu’il nĂ©cessaire de parler ou de l’expliquer. Mon alliance signifie que je suis mariĂ©. La simple vue de cet anneau signifie a tous ceux que je rencontre que je suis pris, je ne suis plus disponible. Connaissez vous d’autres signes spĂ©cifiquement chrĂ©tien ? Le baptĂȘme, la CĂšne, le signe de croix chez les catholiques, mais aussi le signe de la main hello », le calin, etc
 si je vous prends dans mes bras mĂȘme sans parler je vous signifie mon amour ou ma compassion si vous ĂȘtes dans le chagrin. Ici c’est JĂ©sus lui-mĂȘme qui est le signe. Dire que JĂ©sus est le signe Luc revient Ă  dire que ses miracles signifient qu’il est le Fils de Dieu. Il y a ceux qui l’ont compris et ceux qui ont rejetĂ© Le signe est aussi annonciateur de quelque chose un signal sonore avertit qu’un train va passer. Si vous l’ignorez vous allez avoir une surprise. Son retour sera prĂ©cĂ©dĂ© par des signes guerres, tremblements de terre, etc
mais qui les identifiera si ce n’est les croyants ? Comprenez ce que je vais dire De la mĂȘme façon que certains ne comprenaient rien aux paraboles certains ne comprennent pas le message des miracles. Heureux celui qui dĂ©chiffre le signe, car il en a Ă©tĂ© enseignĂ© par le Saint Esprit. Rappelez-vous la parabole du semeur ! Le miracle est donc le signe prĂ©curseur que quelque chose de plus grand va arriver les noces de Cana annoncent le banquet messianique, la mult. des pains signifie le pain de vie », l’aveugle-nĂ© signifie la nouvelle vision du monde, Lazare annonce la rĂ©surrection Ă  venir, etc
 tous ces miracles annoncent la gloire de Dieu par JC. Le miracle en lui-mĂȘme est donc porteur d’une signification qu’il nous faut dĂ©crypter. Il y a un message cachĂ© qui nous rĂ©vĂšle quelque chose de la personne de JĂ©sus. On peut les rĂ©sumer ainsi a. Cana la joie, le banquet messianique, la vie Ă©ternelle sera source de joie
 b. Le fils de l’officier Croire sans voir, sur la Parole de JĂ©sus c. Le paralytique Nous sommes participants de notre guĂ©rison. Veux-tu ĂȘtre guĂ©ri ? sous-entendu veux-tu ĂȘtre sauvĂ© ? Ou prĂ©fĂšres tu rester une victime toute ta vie ? d. La mult. des pains S’attendre Ă  Dieu pour nos besoins y compris matĂ©riels e. La tempĂȘte JĂ©sus est prĂ©sent dans les Ă©preuves f. L’aveugle-nĂ© Dieu jugera les hommes par Son Fils g. Lazare Annonce la rĂ©surrection des croyants par JĂ©sus Jn c’est moi qui suis la rĂ©surrection et la vie Les miracles nous apprennent quelque chose de la foi. Je ne peux que rĂ©sumer ce qui a Ă©tĂ© dit cet Ă©tĂ©. Je vous invite a revenir sur les messages donnĂ©s, quelques-uns sont rĂ©sumĂ©s mais pas tous sur le blog. En guise de conclusion, en quoi sommes-nous concernĂ©s ? Il est difficile de rĂ©sumer en quelques lignes la façon dont nous sommes concernĂ©s car chaque miracle fait appel Ă  un aspect de notre relation Ă  Dieu. Il me semble plus important que vous repartiez avec cette question Qu’est ce que le miracle m’apprend sur JĂ©sus ? sur ma foi ? OĂč est ce que je place le curseur sur chacun des 7 signes ? 1 Cana Peu de foi Ou est ce que je place mon bonheur ? sur cette terre ? Beaucoup de foi 2 Officier Peu de foi Suis je prĂȘt Ă  croire en une guĂ©rison possible ? l’ai je demandĂ©e ? Beaucoup de foi 3 Paralytique Peu de foi Suis prĂȘt Ă  changer pour sortir de mes difficultĂ©s ? Beaucoup de foi 4 Les pains Peu de foi Est ce que je place ma confiance en Dieu ou en mon portefeuille ? Beaucoup de foi 5 La tempĂȘte Peu de foi Est ce que j’ai peur dans les Ă©preuves ? Beaucoup de foi 6 L’aveugle-nĂ© Peu de foi Suis je prĂȘt Ă  changer ma vision du monde ? Beaucoup de foi 7 Peu de foi Est ce que je crois Ă  la Vie Eternelle ? Beaucoup de foi Quel est le message du Christ ? Qu’est ce que cela vient dire de ma foi ?

Blog SIGNES ET PROMESSES ; Description : Ce Blog a pour but au travers de son contenu, d'Ă©difier l'Ă©glise de JĂ©sus-Christ, de faire connaĂźtre Ă  nos contemporains l'amour de Dieu manifestĂ© en JĂ©sus son fils bien aimĂ©.Les messages qui seront diffusĂ©s veulent ĂȘtre en bĂ©nĂ©dictions Ă  tous les milieux, en rappelant qu'aujourd'hui, Dieu veut encore faire Ă©clater
Dieu n'adressa pas d'appel direct Ă  ÉsaĂŻe. ÉsaĂŻe entendit seulement Dieu demandant Qui enverrai-je ? » L'appel de Dieu n'est pas seulement pour quelques-uns, il s'adresse Ă  tous Qui enverrai-je et qui marchera pour nous ? — Me voici, rĂ©pondis-je, envoie-moi. ÉsaĂŻe 68 » Cela veut dire simplement que parmi les appelĂ©s, peu Ă©coutent de maniĂšre Ă  ĂȘtre Ă©lus. Les Ă©lus sont ceux qui, entrĂ©s en contact avec Dieu par JĂ©sus-Christ, ont changĂ© leur attitude, et dont les oreilles, dĂ©bouchĂ©es, perçoivent le murmure doux et subtil" rĂ©pĂ©tant sans cesse Qui marchera pour nous ? » Il ne s'agit pas d'un appel direct Ă  un individu, Ă  qui Dieu disait Toi, il te faut aller ! » Dieu n'a pas du tout contraint ÉsaĂŻe. ÉsaĂŻe se tenait devant Dieu, il entendit l'appel, et il se rendit compte qu'il n'avait qu'un seul parti Ă  prendre, une seule rĂ©ponse Ă  faire Me voici, envoie-moi. » DĂ©barrassez-vous de l'idĂ©e que Dieu viendra vous chercher, avec des injonctions ou des requĂȘtes. Quand notre Seigneur appela ses disciples, il n'exerça sur eux nulle appel, Ă  la fois ardent et serein Suis-moi », s'adressait Ă  des hommes en possession de tout leur sang-froid. Si nous permettons Ă  l'Esprit de Dieu de nous amener devant Dieu, face Ă  face, nous entendrons, comme ÉsaĂŻe, le murmure doux et subtil, et librement, sans crainte, nous dirons Me voici, envoie-moi. » L'appel de Dieu traduit la nature de Dieu J'entendis la voix du Seigneur disant Qui enverrai-je ? ÉsaĂŻe 68. » Quand nous parlons de l'appel de Dieu, nous oublions trop souvent ce qui est le plus essentiel, la nature mĂȘme du Dieu qui nous appelle. Il y a bien des appels Celui de la mer, celui des sommets, celui des glaces polaires ; ils ne sont entendus que par ceux qui sont faits pour les entendre. Car pour entendre un tel appel, il faut quelque chose en nous qui s'y rapporte. L'appel de Dieu exprime la nature divine, et non la nĂŽtre. Il y a certains accents de l'appel de Dieu qu'Il nous destine et que nous sommes seuls Ă  percevoir. C'est Dieu mĂȘme qui s'adresse Ă  nous et Ă  nous seuls sur tel point particulier. Il faut que nous puissions ĂȘtre en communion directe avec Lui. L'appel de Dieu n'est pas du tout l'Ă©cho de ma nature propre ; mon tempĂ©rament, mes tendances personnelles n'ont rien Ă  y voir. Tant que je suis prĂ©occupĂ© de ma nature propre et de mes aptitudes spĂ©ciales, je suis incapable d'entendre l'appel de Dieu. Pour en ĂȘtre capable, il faut que je traverse, comme ÉsaĂŻe, une crise qui me transforme et accorde mon Ăąme au diapason de Dieu. La plupart d'entre nous n'ont d'oreille que pour eux mĂȘmes et n'en ont point pour Dieu. Ce qu'est en nous l'appel de Dieu L'appel de Dieu n'est pas un appel Ă  Le servir de telle ou telle maniĂšre particuliĂšre ; mais je puis, pour moi, l'interprĂ©ter ainsi. Par mon contact avec Dieu, je me rends compte de ce que je voudrais faire pour Lui. L'appel de Dieu en nous, c'est avant tout l'expression de ce qu'Il est. La maniĂšre dont je puis le servir, c'est l'expression de ce qu'il y a en moi. Quand Dieu jugea bon de rĂ©vĂ©ler en moi son Fils, dit saint Paul, afin que je puisse l'annoncer...», c'est-Ă -dire en somme exprimer le fait de Sa prĂ©sence en moi. Le service de Dieu n'est pas autre chose que l'amour et l'adoration assez abondants pour dĂ©border et se rĂ©pandre au dehors. Mais, Ă  dire vrai, Dieu ne nous appelle pas expressĂ©ment Ă  le servir ; c'est une toute petite chose qui vient de moi, c'est l'effet naturel de ma vie transformĂ©e, Dieu me met en rapport avec Lui, de façon que je puisse comprendre son appel ; alors, de moi-mĂȘme, par amour pour Lui, je fais ce que je puis. Servir Dieu est l'humble hommage d'un ĂȘtre Ă  qui Dieu s'est rĂ©vĂ©lĂ©. Quand il me communique quelque chose de Lui-mĂȘme, cette Ă©nergie, qui est en moi comme en Lui, me permet d'agir avec Lui. Le Fils de Dieu s'Ă©tant rĂ©vĂ©lĂ© en moi, je le sers donc tout naturellement dans tous les dĂ©tails de ma vie. AppelĂ© Ă  proclamer la Bonne Nouvelle Le Christ ne m'a pas envoyĂ© pour baptiser, mais pour annoncer la Bonne Nouvelle. 1 Corinthiens 117 » Paul dĂ©clare ici que l'appel de Dieu, c'est l'appel Ă  proclamer la Bonne Nouvelle, c'est-Ă -dire la rĂ©alitĂ© de la RĂ©demption, dans la personne de notre Seigneur JĂ©sus-Christ. Nous sommes portĂ©s Ă  faire de la sanctification le but final de notre enseignement. Paul se sert de ses expĂ©riences personnelles simplement Ă  titre d'exemple, mais ce n'est jamais pour lui le but dernier. Aucun texte dans la Bible ne nous ordonne de prĂȘcher le salut ou la sanctification ; notre rĂŽle est d'Ă©lever JĂ©sus-Christ. Jean 1232 C'est une mauvaise plaisanterie que d'oser dire JĂ©sus a souffert pour que je devienne, moi, un saint. » JĂ©sus a souffert pour racheter le monde entier, et le placer, restaurĂ©, purifiĂ©, sans tache, devant le trĂŽne de Dieu. Le fait que la RĂ©demption peut manifester en nous son efficacitĂ© est une marque de sa puissance et de sa rĂ©alitĂ©, mais non pas son but. Si Dieu avait notre nature humaine, comme il serait fatiguĂ©, Ă©cƓurĂ© de nos incessantes priĂšres pour notre salut, pour notre sanctification. Du matin au soir, nous l'accablons de nos requĂȘtes Il nous faut ceci, il faut qu'Il nous dĂ©livre de cela ! Quand nous aurons touchĂ© le roc profond de l'Évangile, nous ne L'ennuierons plus de nos jĂ©rĂ©miades. Paul n'avait qu'une passion proclamer la Bonne Nouvelle. Il acceptait avec empressement les chagrins, les dĂ©ceptions, les persĂ©cutions, parce que tout cela contribuait Ă  faire de lui un serviteur ferme et dĂ©vouĂ© de l'Évangile. L'appel qui nous contraint Malheur Ă  moi, si je n'annonce pas la Bonne Nouvelle ! 1 Corinthiens 916 » Prenez garde de ne pas boucher vos oreilles Ă  l'appel de Dieu. Sans doute, quiconque est sauvĂ© est appelĂ© Ă  rendre tĂ©moignage de ce fait. Mais ce n'est pas encore lĂ  l'appel Ă  prĂȘcher l'Évangile, il ne s'agit que d'un exemple dont on pourrait se servir au cours d'une prĂ©dication. Paul, dans ce texte, parles de la contrainte douloureuse qu'il a Ă©prouvĂ©e, lorsqu'il s'est agi pour lui d'annoncer la Bonne Nouvelle. Le salut est une affaire toute simple oĂč Dieu se charge de tout Venez Ă  moi et je vous sauverai. » La croix de JĂ©sus-Christ nous impose le salut. Mais pour ĂȘtre son disciple, il faut un choix que nous seuls pouvons faire. Pour que je sois, comme Paul, un vĂ©ritable serviteur de JĂ©sus-Christ, Dieu me façonne Ă  son grĂ©, sans me demander ma permission jamais. À son grĂ©, Dieu fait de nous le pain rompu, le vin rĂ©pandu. Être mis Ă  part pour l'Évangile, c'est un dĂ©chirement, c'est une agonie Toutes nos ambitions broyĂ©es, tous nos dĂ©sirs supprimĂ©s, tout en nous s'effaçant devant cet unique devoir Mis Ă  part pour l'Évangile. » Malheur Ă  celui qui essaye de marcher dans une autre direction, dĂšs qu'il a entendu cet appel ! Quand Dieu vous a saisi, arriĂšre tout autre appel ! Un texte de Oswald Chambers
4HI9t. 61 221 145 415 314 90 418 469 264

les signes de l appel de dieu