Unautre détenu ayant participé à l’émission a été condamné pour une peine lourde, pour un meurtre, selon nos informations. Contrairement à ce que disent les organisateurs: il a lui aussi été sélectionné à la discrétion des autorités de la prison comme apte à participer au jeu. Cette décision s’appuie probablement sur le fait que lui aussi est en réinsertion: il est
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Enparallèle de demander une enquête interne, Eric Dupond-Moretti a annoncé sur Twitter le 23 août la publication d’une nouvelle circulaire pour “fixer clairement les conditions

Relatant une histoire vraie mais fuyante, Enquête sur un scandale d’État pervertit le concept du film-dossier. Un trafic de drogue qui se ramifie jusqu’à la tête des Stups français devient un billard à trois bandes où des figures emblématiques – flic, indic, journaliste – s’affrontent, s’associent ou s’évitent. Opaque et long en bouche, le nouveau film de Thierry de Peretti semble donner raison à Paul Éluard Il ne faut pas voir la réalité telle que je suis. » Réunion en petit comité à Libé on s’interroge sur le titre de la une qui va révéler une affaire explosive levée par un reporter maison, les accointances entre le patron des stups et un grand baron de la drogue qui iraient jusqu’au trafic. L’équipe hésite entre deux mais opte pour le plus fracassant Révélations sur un scandale d’État. L’autre, moins assertif, n’est pas remisé pour autant, puisque Thierry de Peretti en fait le titre de son troisième long-métrage, le plus ambitieux et le plus réussi Enquête sur un scandale d’État. L’affaire toujours en attente de jugement a donné lieu à un ouvrage co-écrit par le journaliste de Libération, Emmanuel Fansten, et le lanceur d’alerte » qui l’a contacté, Hubert Avoine décédé depuis. Les mots ont un sens, et ce personnage interlope, ex-douanier, refuse dès sa première rencontre avec Fansten Vilner dans le film qu’on le nomme autrement qu’infiltré “ni flic, ni voyou, ni indic”. Des révélations ne sont pas une enquête elles claquent et présentent mieux, comme d’ailleurs le troisième larron, Billard, grand flic joué par Vincent Lindon à qui De Peretti donne l’occasion de se défendre dans deux grandes scènes d’autojustification, en début convocation par une procureur et fin de film procès suite à l’affaire. Il faut se méfier de qui se définit devant vous. Le film revêt les apparences d’une enquête, comme l’indic, magistralement interprété par Roschdy Zem, se présente en infiltré. Le pseudonyme que lui choisit De Peretti détourne Avoine en Antoine, l’argot vieilli de l’argent devient un prénom rassurant, alors que l’indicateur paraît plus exfiltré qu’infiltré, vivant inexplicablement sur un grand pied, bientôt au grand jour sans que la justice ne se retourne sur son parcours pourtant douteux. Jamais avare d’une histoire avec célébrité Pablo Escobar, il fait pénétrer le journaliste Pio Marmaï dans un monde mouvant de compromissions et d’échanges où des tonnes de drogue passent les frontières avec la bénédiction des stups français. Entre Altman et Hou Mais ce que l’on saisit de l’enquête – notamment les ramifications internationales – tient principalement en un long entretien chez un juge espagnol et des discussions entre Vilner et Antoine, le plus souvent relatées à d’autres et donc de seconde, voire de troisième main. Le mis à nu ou supputé n’est jamais confirmé, et bénéficie de doutes qu’on hésite à trouver raisonnables. Ce scandale d’État nage en eaux troubles comme un serpent de mer, laissant le spectateur dans l’indécision. Faut-il croire ou non tel protagoniste, Antoine plutôt que Billard ? Rien à l’écran ne fournira d’assise à l’une ou l’autre version, même si l’on peut noter un mensonge fugace d’Antoine, sur la présence du grand flic ordonnateur lors de la livraison de drogue qui constitue le prologue. L’indic y déambule dans une villa luxueuse de la Costa del Sol semblant guetter quelque chose, avant que des bruits venus de loin ne signalent des vedettes accostant bientôt, plusieurs hommes empressés en sortant pour décharger un contenu diligemment conduit à la villa dans des voitures aux coffres bourrés, tandis que l’indic suit le transfert et ouvre son portail sans échanger de mots avec quiconque. Cette co-présence mystérieuse des manutentionnaires et du superviseur est amenée par de longs mouvements de caméra qui installent un malaise, pas tout à fait une menace. Par ailleurs, nulle trace dans les plans du patron des stups impliqué par Antoine. Il faudra une bonne heure pour que cette ouverture s’éclaircisse partiellement. De Peretti cale sa mise en scène entre Robert Altman et Hou Hsiao-Hsien Plus le film avance, plus les quintaux de drogue entraperçus vont devenir un McGuffin, et avec eux la réalité de ce scandale d’État, voire la réalité tout court. De Peretti cale sa mise en scène entre Robert Altman et Hou Hsiao-Hsien, balayant les scènes de groupe sans point focal les conférences de rédaction à Libé, ou isolant parfois un personnage perdu dans l’écrin liquide de ses sensations comme le générique sur fond de concert techno ou dans un monde intérieur de calculs et de revanche Zem en presque solitaire à la Michael Mann. Le récit est rendu elliptique par la soustraction de pans entiers qui auraient pu apparenter le film à un genre, que ce soit le narco-polar ou l’enquête journalistique à visée judiciaire. De Peretti pousse encore plus loin l’abstraction que dans Une vie violente où la destinée tragique d’un jeune nationaliste corse était tenue à distance par le formalisme de plans-séquences un peu pesants. L’idéalisme qui guidait le héros est ici remplacé par l’appât du gain ou le désir de reconnaissance. Si, dans Enquête sur un scandale d’État, la direction d’acteurs insiste sur la croyance des personnages en leurs fables, la mise en scène prend encore plus de recul. Le montage ajoute au brouillage et à l’ambivalence, intercalant parfois des plans d’Antoine dans des scènes où il ne figure pas. Le mixage, de son côté, multiplie les strates de musiques en les associant aux personnages comme des paysages choisis. Le en même temps » croise le tout le monde a ses raisons ». Mais, derrière retrait et coupes franches, le regard faussement flottant assume une critique subtile de la masculinité. Tous ces hommes luttant pour l’éminence chacun dans leur domaine sont ivres de leurs pouvoirs, qu’il soit effectif le flic Lindon, occulte l’indic Zem, en devenir le journaliste Marmaï. On retrouve une clé chabrolienne qui œuvrait dans le bien nommé l’Ivresse du pouvoir, et il n’est pas innocent de découvrir Maryline Canto, magistrate chargée de l’instruction chez Chabrol, promue ici au rang de juge. Les femmes savent ouvrir les serrures des psychés viriles et représentent une instance de contrôle, qu’elle soit judiciaire Bruni-Tedeschi en procureur excédée, médicale la doctoresse diagnostiquant le mal de l’indic ou intime la compagne d’Antoine, jouée par Mylène Jampanoï. L’une des scènes les plus incroyables capte dans le salon d’un bar à filles la discussion animée d’Antoine et Vilner, vraisemblablement sous substances, qui s’échauffent sur les développements de l’affaire, de quoi faire “péter la République”, cependant qu’une entraîneuse, décatie et court vêtue, s’assure qu’ils ne manquent de rien, entrant et sortant du cadre en ne laissant parfois dépasser que son cul. La fabrique de l’information est devenue un jeu entre hommes, sinon une fin en soi. Mise en scène sous couverture Tout comme De Peretti s’amuse en contournant les scènes à faire une seule fusillade, codicille déconnecté ou en pointant la consommation de drogues récréatives chez les journalistes, le trio de personnages joue à Tintin, à Vidocq, au héros sous couverture comme d’ailleurs De Peretti l’est, sous couverture, enfilant les atours de la fiction-dossier pour traiter en fait la disparition de la réalité, son éclatement quelque part entre les trois personnages. Et celui vers qui sont décochées les flèches, le flic mis en accusation, doit à tout prix se disculper. Il vend chèrement sa peau dans deux grandes scènes d’interrogatoire et de procès, rodant ses arguments de l’une à l’autre, toujours en représentation. Son pouvoir passe par la façade et l’entregent, à l’image des rapports ambigus qu’il entretient avec l’indic, non résolus par un unique affrontement à mi-film. Leur face-à-face s’apparente à un clair décalque de Heat où De Niro et Pacino inversaient leurs registres. Ici, c’est l’habituellement calme Zem, plus mauvais joueur, qui se laisse aller à une bouffée de colère et interrompt la partie, tandis que l’électrique Lindon se garde de répondre à l’étincelle. La progression de l’Enquête n’amènera nulle révélation gravée dans la pierre. Comme si De Peretti exerçait une critique non dite sur ces jeux de pouvoir. Un second reporter, joué par Alexis Manenti, épaule Vilner en début de film, son meilleur ami ou tout comme, si l’on en juge par leur proximité physique. Le premier comité de rédaction les montre aux extrêmes du plan, saisis en bout de cadre, dans l’amphithéâtre où sont assis les journalistes. L’enquête les fera gagner du galon, avant que le second ne s’éclipse, écarté de son chef ou non. La dernière scène à Libération montre Vilner, passé des gradins au centre et devenu à son tour animateur dispensant la parole, alors que son ami végète toujours à la périphérie. La seule révélation dont témoigne Enquête sur un scandale d’État est cette montée en grade et ce maintien dans l’obscurité. Les jeux des hommes se résolvent au sein d’un monde liquide où l’on passe de l’ombre à la lumière, dans un sens puis dans l’autre. L’amorce du film, Zem avançant vers la clarté d’une porte-fenêtre, ne pouvait que rimer avec un dernier plan, tout à l’opposé et parfaitement splendide. Des voitures dérobent son personnage à la vue, dans une nuit épaisse qui mène vers les montagnes, et dont on ne sait si elle signifie la mort, la renaissance ou l’éternel retour des trafics. Christophe Despaux Enquête sur un scandale d’état, un film de Thierry de Peretti, avec Roschdy Zem, Pio Marmaï, Vincent Lindon Imprimer cet article Commentaires Enquêtesur un scandale d'Etat. Biopic (2h03) Enquête sur un scandale d'état Bande-annonce VF. Octobre 2015. Les douanes françaises saisissent sept tonnes de cannabis en plein coeur de la capitale. Le jour même, un ancien infiltré des stups, Hubert Antoine, contacte Stéphane Vilner, jeune journaliste à Libération. Il prétend pouvoir démontrer l'existence d'un Accueil • Films • Enquête sur un scandale d'état Octobre 2015. Les douanes françaises saisissent sept tonnes de cannabis en plein cœur de la capitale. Le jour même, un ancien infiltré des stups, Hubert Antoine, contacte Stéphane Vilner, jeune journaliste à Libération. Il prétend pouvoir démontrer l’existence d’un trafic d’État dirigé par Jacques Billard, un haut gradé de la police française. D’abord méfiant, Stéphane finit par plonger dans une enquête qui le mènera jusqu’au aux recoins les plus sombres de la République.
RoschdyZem (Enquête sur un scandale d'Etat, Roubaix, une lumière, Le Jeu) épaule le comédien dans ce duo de personnages principaux. La bande-annonce : L'affiche
CRITIQUE / AVIS FILM - Sur un sujet complexe et encore chaud, Thierry de Peretti décrypte la construction d'un récit médiatique et interroge la corruption des institutions comme celle, plus intime, des motifs personnels des individus. "Enquête sur un scandale d'état" est un grand film, vertigineux, qui sûr de sa force s'offre lui-même au doute attaché à tout récit. On ne se débarrasse pas du trouble qui saisit lorsque s'achève Enquête sur un scandale d'état. Un trouble ambigu, comme si à la fois entièrement tout et strictement rien n'avait été dit. Alors que tout était là, parfaitement mis en scène, photographié et interprété. Pourtant, la vérité du film de Thierry de Peretti n'apparaît pas comme on pourrait l'imaginer, simple et claire. Si elle apparaît, c'est selon la seule modalité possible pour n'importe quelle vérité. Comme un accord, une convention, un concept et au mieux une réalité partagée de fait. Il faut rappeler que la vérité et l'art n'ont ainsi jamais eu grand chose à voir, et paradoxalement surtout quand le cinéma s'éprend d'un fait divers retentissant. Enquête sur un scandale d'état ©Pyramide Comme chacun des protagonistes de l'affaire en jeu, Enquête sur un scandale d'état tente son récit. Il invente une histoire, qui n'est pas celle du journaliste Stéphane Vilner Pio Marmaï, ni celle de l'informateur Hubert Antoine Roschdy Zem, ni celle de l'ancien chef des stups Jacques Billard Vincent Lindon. Il est un peu de toutes ces histoires, saisies et développées dans un récit conçu comme un long dialogue entre Stéphane et Hubert, avec ses ellipses, ses malentendus, ses mensonges aussi. La vérité est un discours, le cinéma est un discours, et c'est là le véritable thème du film extraordinairement brillant de Thierry de Peretti. Au coeur d'un scandale majeur Pour mettre au jour cette grave affaire en 2016, Emmanuel Fansten Stéphane Vilner dans le film, journaliste de Libération, publie une enquête sur l'implication des stups et particulièrement l'ancien n°1 de la lutte anti-drogue dans un trafic international. L'événement déclencheur est la découverte par les douanes d'une cargaison de 7 tonnes de résine de cannabis en plein Paris, le 17 octobre 2015, chargée dans trois camionnettes garées boulevard Exelmans, dans le très chic XVIe arrondissement. L'enquête fait apparaître l'implication d'un important trafiquant de stupéfiants, qui se trouve aussi être un indic précieux de l'Office central pour la répression du trafic illicite de stupéfiants, dirigé alors par François Thierry Jacques Billard dans le film. Emmanuel Fansten est informé par un ancien agent des stups infiltré, Hubert Avoine Hubert Antoine dans le film. C'est grâce à son témoignage qu'il va pouvoir mettre à jour ce qui s'apparente à un scandale d'état. Ensemble ils publient le livre L'infiltré De la traque du Chapo Guzman au scandale français des stups en 2017. Trois hommes donc, un journaliste, un indic et un "grand" flic, pour une affaire complexe qui ne veut pas trouver sa fin. Alors, qui a fait quoi ? Qui a raison ? Enquête sur un scandale d'état ©Pyramide Enquête sur un scandale d'état, exercice suprême du doute Thierry de Peretti réussit un éclatant tour de force, en ne répondant pas à ces questions de manière décisive. Sur un scandale établi et dont la procédure judiciaire est encore en cours, on ne sait pas à la fin d'Enquête sur un scandale d'état si sa matière bien réelle existe vraiment, et où se situerait la distance qui permet de former un jugement. On s'attache bien sûr à la quête des deux hommes, anti-héros a priori valeureux. Jusqu'à cette fin brillante où Jacques Billard annule cet attachement, en discourant peut-être sur un raisonnement "supérieur", au sens d'un raisonnement collectif et à long terme. Quand Stéphane et Hubert seraient eux seulement mus par des intérêts personnels et à court terme. Parce que Stéphane ne peut pas nier son addiction à l'investigation et à l'audience, comme Hubert ne nie pas sa haine personnelle de Jacques Billard. La drogue au coeur du scandale est en effet aussi celle que consomme à l'occasion Stéphane. Quant à la lumière qu'Hubert recherche sur l'affaire, il veut aussi, peut-être surtout, la capter pour lui, pour se faire un nom avant de disparaître. Des contradictions normales, dont est exempt à l'image Jacques Billard, sur lequel on en voit logiquement beaucoup moins. Simplement parce que pour réaliser le film, Thierry de Peretti n'a travaillé qu'au plus près des documents. Ceux-là sont essentiellement des enregistrements entre Emmanuel et Hubert. Enquête sur un scandale d'état ©Pyramide Pour mettre en scène ce récit d'une enquête, la caméra suit ces personnages dans de longs plans-séquences où les acteurs principaux brillent. Ceux-là dessinent eux-mêmes, à la mesure de leurs mots et gestes, le cadre fragile de leur enquête. L'image est au format 133, pour apporter encore cette sensation de reportage, avec son absence volontaire de recul. Une leçon de cinéma et de reportage Dans ce film où n'est ainsi apportée aucune réponse - quelle était la question d'ailleurs ? -, on observe quelques pauses contemplatives volées au suspense. Qui raconte cette plage espagnole où une livraison de drogues est surveillée par la police française ? Est-ce Hubert qui montre son souvenir, est-ce l'enquête de Stéphane qui lui donne cette vue, est-ce Thierry de Peretti qui fait le pari du réalisme le plus clinique ? Enquête sur un scandale d'état n'en dit volontairement rien, tout en étant le plus généreux possible dans le réel. Pour ce thriller journalistique et politique à la matière fuyante, la photographie de Claire Mathon, déjà à l'oeuvre sur Une vie violente en 2017 et récemment sur Portrait d'une jeune fille en feu, Spencer et Petite Maman, participe à merveille au vertige que procure le film. Le film est aussi sec que mystérieux, comme son titre. Et c'est un alliage performant. Enquête sur un scandale d'état est la démonstration magistrale d'un cinéma à la fois subtil et authentique, qui use de l'illusion pour essayer de capter au mieux le réel. Pour que ce réel apparaisse, le réalisateur peut compter sur des interprètes totalement incarnés, dont les limites des discours font les limites du film, mouvantes jusqu'au flou. La présence de Vincent Lindon, âme et corps souffrant des multiples réalités et discours du monde contemporain chez Stéphane Brizé La Loi du marché, En guerre, prochainement Un autre monde, y est idéale. Pio Marmaï entraîne comme obsédé la caméra dans les locaux de Libération et sur les pas de Roschdy Zem. Qui lui arpente son chemin de vengeance dans une solitude forcément douloureuse. Les scandales mettent en appétit le cinéma. On a récemment pu par exemple le voir avec Bac Nord et L'Ennemi. Dans les deux cas, et nonobstant leurs différents genres et leurs mérites, la question de la vérité des récits n'a pas été, ou très faiblement, abordée, jusqu'à être sabordée par l'adrénaline de l'action ou la contemplation du vice. Dans Enquête sur un scandale d'état, la parfaite justesse est gracieusement trouvée, pour offrir une expérience unique et un grand film. Enquête sur un scandale d'état de Thierry de Peretti, en salles le 9 février 2022. La bande-annonce ci-dessus. Retrouvez ici toutes nos bandes-annonces.
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